Dans le BP 2019, une enveloppe de 50 000 euros a été votée pour subventionner la rénovation de l’habitat sur la Commune.
La Commune souhaite favoriser la primo-accession de jeunes ménages ainsi que la réhabilitation de l’habitat sur le ban communal dans un objectif de participation au rééquilibrage démographique du territoire. A ce titre, une ligne budgétaire de 50 000 euros a été inscrite au budget.
-Une prime de 4 000 € maxi sera versée par la Commune en cas d’acquisition avec rénovation d’une habitation à usage de résidence principale avec a minima 25 % de travaux par rapport au coût d’acquisition du bien,
-une bonification sera reversée pour un couple avec enfants, à hauteur de 500 € par enfant (jusqu’à 15 ans), plafonnée à 1 500 €,
– les bénéficiaires sont des particuliers engageant des travaux pour leur résidence principale construite il y a plus de 10 ans à la date de la demande,
-En cas d’acquisition d’un logement ayant une valeur énergétique E, F ou G, le bénéficiaire devra prendre l’attache de la CCPVM gestionnaire avec l’ANAH du programme « Habiter mieux »,
-le montant ne serait débloqué qu’à l’issue de la visite de fin de travaux (sur présentation du livret de famille quant aux nombres d’enfants de moins de 15 ans à la date de la demande,
-Les habitations sur la totalité du territoire de la commune sont éligibles. Cependant, cette participation communale n’implique en aucune façon, un engagement quant à la prise en charge de tout ou partie des frais de viabilisation et raccordement aux réseaux secs ou humides hors zones U.
En contrepartie, l’acquéreur s’engage effectivement à occuper personnellement le logement à titre de résidence principale la totalité du bien acquis pendant une durée minimale de 5 ans.
Cette obligation d’occupation est levée en cas de circonstances exceptionnelles :
•Décès d’un des bénéficiaires,
•Divorce ou rupture de PACS,
•Mutation ou mobilité professionnelle de plus de 50 km,
•Période de chômage prolongée (plus d’un an),
•Invalidité ou incapacité reconnue par la COTOREP,
•Surendettement de l’accédant (sur présentation d’un dossier de surendettement jugé recevable par la Banque de France),
•Évolution de la situation familiale conduisant à une sur-occupation du bien acquis.
Le bénéficiaire s’engage à fournir toute information concernant un changement d’occupation du bien acquis pour lequel il a bénéficié d’une aide à l’accession. En cas de non-respect de cette clause anti-spéculative, l’accédant devra rembourser la subvention perçue, calculée en fonction du nombre d’années de résidence principale manquantes.