Arbuste sectionné, défibrillateur fracturé, traces de pneus sur le revêtement neuf…
C’est avec consternation que les Picosés ont pu constater ces actes de vandalisme qui se sont déroulés fin février-début mars sur le parvis de notre Espace Culturel.
Une plainte a été déposée par le maire pour avoir la lumière sur ces faits : au-delà d’être générateur de coûts, ce sont les aménagements publics portés par notre Commune qui sont abîmés, et par conséquent l’image de notre village :
– nous rappelons que le parvis est une zone de déplacement « doux », c’est-à-dire interdit aux engins motorisés,
– le défibrillateur est un appareil destiné aux premiers secours (traitement en urgence d’un arrêt cardiaque). Il doit évidemment rester en état de fonctionnement en permanence.